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Voilà, Lundi, C'est l'oral de français... je revise et pourtant, j'ai l'impression qu'une grosse éponge aspire tout ("Bob, sors de ma tête !! Et vas me griller un crousticrab ou deux !") Ceci dit, j'arrive à trouver du temps pour vider mon esprit, plein à craquer, comme par exemple cette aprem, avec ce court texte qui va suivre et ce dessin, inspiré par ces p****** de mes deux ! (ou "mèèède", n'est ce pas Kichi ?) de fourmis qui envahissent ma chambre, et me hantent... Donc voilà, je n'ose pas encore vous promettre des post quotidiens cette été, mais plutôt une présence plus importante par rapport à l'année dernière, et toujours en espérant que le nombre de visiteurs augmente, ce qui pour l'instant, n'est pas vraiment le cas --'

Merci de toute votre sacré attention, et si vous avez remarqué (si c'est pas le cas, hurlez "rembourser !!!" à minuit devant la maison de votre opticien ! :3) la nouvelle déco du blog ! Et c'est pas finiiii encore ! :D







Le noir et sombre esprit n'apparait que lorsque sa demeure restée close jusqu'à maintenant, ne se sente craquer sous la brise. Le blanc cocon est éclot... C'est alors qu'il dégage ses grandes ailes, à la poudre grise et opaque, qui à chacun de ses mouvement, s'étant sur la garrigue sauvage. On entend gronder son cœur amoureux, et qui, maladroit mais si admiratif, laisse quelques fois tomber ses coups de foudre pénible sur d'autres que sa belle, son horizon, toujours trop loin de lui. Mais ces trophées, ces grondements et son chahut seront toujours ignorés de la dame en fuite, laissant ce pauvre monstre attristé. Voilà maintenant qu'il pleure, alourdit par le souffle lent de son passé, qui le pousse à se jeter finalement dans le vide. Éphémère, tel la distance entre deux amants, il retourne dans l'au-delà, et laisse place au prochain cocon, qui fera naitre plus tard une âme orageuse ...

Haricotte, plutôt inspirée sur le coup --'





Bientôt, prochaine, quand je pourrais, il y aura dans cet article ou le prochain quelques photos :)


:P Haricotte



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